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Les fan fictions
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Nous l'avons conquise!

 

La canonnade avait cessé son œuvre , pour laisser place aux hurlements des mourants. J'ai tourné le dos à ce spectacle et les premiers rapports me sont parvenus. Inflexible, je les ai lus. Mon aide de camp ne pus rien lire dans l'expression de mon visage mais mes yeux me trahirent.
Il me regarda et articula :
-« Les résultats sont bons, n'est-ce pas ? »
Dans mon for intérieur, à ce moment-là, je me suis dit qu'il devait me prendre pour un naïf pour ne pas avoir remarqué son expression et le ton de ses paroles étaient celles d'une personne qui cherchait à être rassurée.
Ironique, je lui ai répliqué :
-« Bien entendu. Notre infanterie est la meilleure qui soit, démunie de la protection qu'apportent les chars. Notamment contre la ligne de défense adverse surnommée l'inexpugnable. »
Je me suis retourné et le léger sourire, que j'imaginai se dégager de mes paroles, disparu quand la réalité réapparue devant moi.
Une vallée creusée d'un dense réseau de tranchées de fortune, où des corps mutilés ont été semés, irriguée par du sang acheminé par la rivière.
Un coursier m'extirpa de mes songes et me tendit un pli. Je chargea mon aide de camp de l'ouvrir et de m'en faire prendre connaissance.
-« 265 e , 301 e et 465 e régiment d'infanterie, 2 e division blindée arrivent en renfort. Avons été informé récent échec. Dernière chance avant front nord »
En soupirant, ces quelques mots m'échappèrent :
-« C'est de la folie », suivi de, « indiquent-ils l'heure d'arrivée ? »
-« Dans 10 heures »
Résolu à donner le plus de chances possibles à mes hommes, j'ordonna le commencement de la préparation d'artillerie des positions adverses dans l'heure ainsi que les troupes de réserve soient prêtes au combat dans dix-neuf heures.
Puis, je me suis approché du radio pour transmettre mes intentions :
-« transmettez au GQG que je passerais à l'attaque demain à treize heures zéro zéro, avec mes réserves et les renforts pour un total de cinquante mille hommes. »
le radio transmit, retira son casque et me fixa :
-« la moitié de ce que vous avez envoyé. Combien sont morts ce matin ? »
-« trop », répondis-je sèchement
Sur ce bref mot je m'éloignais. Arrivé à sa hauteur, mon aide de camp me posa une question dont la réponse découragerait au moins cinquante mille soldats :
-« quelles ont été nos pertes du dernier assaut ? »
En évitant son regard, je lui rétorqua :
-« je dois préparer mes affaires demain soir je pars pour le nord. »
Puis j'ai tenté de poursuivre mon chemin mais il me saisit par le bras ; et prononça :
-« combien ? »
-«  lâche moi ou je te fais fusiller. »
-« Pardonnez-moi général », en lâchant prise
-« Quatre-vingt », puis, je continuais de marcher de quelques mètres de cette personne intriguée, pour finalement m'arrêter et tourner la tête de profil :
-« pour-cent »

Le jour baissait déjà et les derniers rayons chassaient péniblement l'obscurité. Mes affaires étaient prêtes et rangées sous mon lit de camp. L'artillerie poursuivait ses tirs, leurs fracas n'étaient masqués que par celui des impacts.
Dans la tente des officiers je revoyais une dernière fois le plan prévu avec les différents commandants :
-« notre base est ici, à exactement cinq kilomètres de notre objectif. Et en face de lui, leur ligne de défense que nous tentons en vain de percer depuis deux mois. La deuxième compagnie soutenue par la 16e brigade légère se positionnera hors de portée des canons de défense adverse pour faire diversion, avec l'ordre de ne pas avancer. Pendant ce temps, la 16e aéroportée se déploiera dans le 3 e cadran, ils s'assureront du harcèlement des renforts et du ravitaillement. Ils s'occuperont également de la centrale hydroélectrique, ici, les privant de précieuses ressources en électricité. Les renforts qui arriveront cette nuit rejoindront nos réserves sur le bras nord de notre tenaille. Quand l'artillerie cessera ses tirs ils progresseront vers… »
Un messager m'interrompu, même à bout de souffle il parvint à me dire :
-« Général ! Des…hélicoptères ennemis viennent de dé…coller de leur base. Ils….se dirigent droit vers nous ! »
Ces mots suffirent pour que sorte en trombe de la tente pour dévaler la colline sur laquelle était installée le poste de commandement.
En très peu de temps j'étais dans le camp et j'ai hurlé mes ordres :
-«  Appelez la base aérienne la plus proche. Demandez un soutien aérien. Activez la DCA.  »
Je venais à peine de donner ces quelques ordres qu'un projecteur m'éblouisse…suivi de près par le sifflement strident caractéristique des missiles ennemis.
Des véhicules explosèrent ; des masses informes de chaires étaient projetées ; mais moi, résigné, je me tenais droit au centre des centaines d'hommes fuyant dans tous les sens.
Je regardais sereinement les appareils adverses déversés leurs flots de destruction autour de moi. Le temps semblait s'écouler lentement, les hélicoptères volaient ou plutôt exécutaient une danse dans les airs. L'ensemble me semblait si harmonieux, le bruit des moteurs, celui des tirs, des explosions que je fut presque attristé que notre aviation vienne y mettre fin..

L'offensive n'aura pas lieu à l'heure prévue . J'avertis le GQG que le retard des renforts provoqué par des embuscades, des renseignements annonçant que ceux de l'ennemi renforçaient leurs positions m'avait découragé de lancer cette attaque.
La réponse ne se fit tarder.
Mon aide de camp me rejoignit pour me porter les ordres du haut commandement. Bien que très clair, ils ne prennent pas en compte l'élément humain ; les hommes étaient fatigués, certains blessés, d'autres encore furent tués dans les accrochages augmentant davantage la disproportion numérique.
A leur lecture, l'expression de mon visage était claire, mais je pris le luxe d'exprimer mon avis :
-« Un ordre aberrant ne doit être suivi. Prévenez les soldats que l'offensive est reportée. Faites cesser le barrage d'artillerie. »
-« Que disent ces ordres général ? »
-« D'attaquer sans attendre. »
Je voulus sortir le premier, mais arrivé à la porte, un objet froid vint se déposer sur ma nuque…
-« Général, vous allez obéir à cet ordre direct de notre leader. Il sait ce qui doit être fait. »
-« Va dire çà aux malheureux de Kasselrim… »
-« Les ordres n'avaient pas été suivis… »
-« Détrompe-toi, ils ont été scrupuleusement suivis… »
-« Qu'en savez-vous ? »
-« A-t-on avis, qui était responsable des troupes engagées dans cette bataille ? »
Je fis demi-tour, le regarda fixement dans les yeux et le fis reculer tout en poursuivant :
-« J'étais comme toi obnubilé par son charisme et ses belles paroles. Je suivais ses ordres sans réfléchir. Il m'ordonnait d'envoyer dix hommes attaquer un bunker, je les envoyais point barre. A Kasselrim ses ordres étaient ne pas reculer d'un pouce et rester offensif malgré moitié moins de troupes que ceux d'en face… »
-« La supériorité numérique adverse n'explique pas tout. Un commandant se doit de trouver des solutions !!! »
-« Veux-tu que je parle du ravitaillement insuffisant, des renforts ridicules et inexpérimentés, des renseignements inexacts quand ils me parvenaient. Comment, et je veux que tu me répondes, peut-on combattre le ventre vide, sans arme et dans le noir ? TU VOIS UNE SOLUTION ? »
Il se mit à réfléchir, baissa les yeux.
A ce moment là, je me saisis de son arme et la retourna contre lui.
-« Vous n'oserez pas me tuer de sang froid, général. »
-« C'est exact. GARDE ! »
L'entrée de la tente se souleva sur ce simple mot. Deux silhouettes massives bardées d'équipement apparurent.
-« Saisissez-vous de cet homme et fusillez-le sur-le-champ. Pour menace de mort sur son supérieur hiérarchique. Qui plus est, un général. »
Les deux gardes prirent mon aide de camp et le traînèrent à l'extérieur. Il essaya de plaider sa cause mais ils restèrent de marbre. Je les suivais et une phrase m'échappa devant cette scène. Je ne pus me retenir de le dire à voix haute afin que le condamné l'entende :
-« Les ordres sont les ordres ! », un léger sourire se dégagea de mon visage.
Ces mots déclenchèrent une réaction assez violente de sa part et commença à sortir des jurons envers ma personne.
-« il suffit jetez-le à terre »
Le dernier bruit qu'il entendit, fut celui de son arme.

Les ténèbres passèrent. Elles n'ont été perturbées que par des grondements de combats distants.
La fraîcheur de l'aube va bientôt être évaporée par la fièvre des futurs combats.
L'assaut est sur le point d'être lancé. Les tirs à longue portée avaient éventré des portions gargantuesques de la muraille qui nous barrait la route vers notre objectif, mais paradoxalement selon les espions la défense n'en fut que renforcée. La surface était en ruine mais les profondeurs, la terre était creusée de plus en plus, pour accueillir toujours plus de combattants. Je me postais à une distance suffisante pour être en sécurité avec ceux de mon poste de commandement. Mais l'éloignement ne m'ôtera la vue des soldats fauchés par un ennemi rendu invisible grâce à sa vitesse.
J'ai trouvé un bon emplacement. Ma main gauche tenait mes jumelles suspendues à mon cou, mon bras droit pendait, au bout je tenais la radio. Je posa mon pied droit sur un rocher le vent faisait claquer le long manteau de cuir que je m'étais mis.
Un officier vint interrompre ce moment de plénitude…
-« Général. Les troupes du bras sud sont prêtes. »
Au même moment une bourrasque un peu plus forte décrocha le drapeau hissé en haut du mât installé sur la colline. Et je dis en chuchotant presque :
-« C'est un signe. Je dois libérer la force du Scorpion. »
Je mena la radio à ma bouche :
-« Ordre d'attaquer. »
A l'annonce de cet ordre les colonnes de troupes se mirent en marche aussi bien au nord qu'au sud. Les escadrilles de banshees survolèrent la plaine en contre-bas pour aller bombarder les restes de la grande fortification. Tout se passait comme prévu. Un peu trop. Les troupiers progressaient à l'abri des chars sans rencontrer la moindre résistance.
-« Général. Rapports des chefs de colonnes : aucune résistance ennemie dans les défenses secondaires ; alimentation électrique nulle ; éclaireurs ne signalent aucun mouvement de troupes dans notre direction. Demande instructions. »
Bien qu'incrédule je comptais poursuivre le plan prévu :
-« Qu'ils établissent un poste avancé dans les positions conquises et qu'ils poursuivent leur progression vers l'« inexpugnable », demandé aussi une reconnaissance de la zone par les chasseurs»
-« Bien général » tout en s'inclinant légèrement, puis il partit transmettre les ordres.

C'était un piège . Les troupes investirent sans être retardées le premier niveau de la ligne de défense mais lorsqu'elles voulurent progresser dans les entrailles de la structure… des commandos jaillirent du sous-sol pour anéantir toutes les compagnies qui ne s'y attendaient pas. Selon les rapports la lutte fut menée au corps à corps, les tirs à bout portant causèrent d'effroyables blessures obligeant les médecins à amputé des morceaux de membres à peine reconnaissable. Les pertes augmentaient rapidement les troupes du GDI avaient fortifié chaque salles, minées tous les couloirs, quand les portes n'étaient pas scellées, des pièges étaient installés. Le combat fut meurtrier, mais vit tout de même la victoire de la confrérie.
Le moral était au plus haut. Le bastion si redouté était pris. L'emprise du nod était signifiée par l'emblème glorieux hissé sur les bunkers et claquant au gré du vent. La route vers l'objectif se trouvait enfin en face de nous, dépourvue de défense comparable à celle qu'apportait l'"inexpugnable". Mais où se trouvait cette masse de troupes ennemies, promise par les services de renseignement ; ce Léviathan ?
Je persévérais à me poser cette question, la réponse m'obstinait, d'elle seule dépendait la poursuite de l'opération ou son arrêt. Au sommet du toit de ce qui restait du bunker de commandement de la muraille, je scrutais l'horizon, m'abîmant la vue à rechercher une trace, une preuve de l'existence de cette armée se repliant. Les rares documents sauvés des flammes, qui espéraient me priver de tous renseignements utiles, m'annonçaient la présence d'au moins vingt-cinq mille soldats dans la zone, que ce soit dans les fortifications principales, secondaires et dans notre cible : Berlin.
Kane en personne me transmit l'ordre d'enfuir mes peurs et mes doutes et d'avancer pour notre plus grande gloire. Ma foi en une protection divine se reconsolida en moi depuis la prise de la barrière défensive tellement puissante que notre dernier assaut se serait s'écraser dessus. Je n'aurais peut-être pas dû m'éloigner tant de lumière, et comme pour expier mon pêché, je fis un long discours sur mes peurs passées et ma perte de confiance en la cause ; pour terminer j'ai encouragé tous ceux qui allaient participer à la l'assaut de Berlin d'entonner un passage de la bible de nod :
-« chapitre neuf, verset douze, " Ad augusta per angusta*" ;
L'appel des banshees réveillera les morts ; lorsque les sombres présages surviendront,
Considérez-les comme un appel funeste annonçant notre destinée ;
Lorsque nos ennemis se relèveront de leurs tombeaux, assoiffés de chaleur ;
La guerre sur terre et dans les cieux ne sera que futilités.
Car les fils de Nod seront les hérauts du dieu Chacal, il les protégera
Et ternira l'Oeil du mal pour que l'unité, la confrérie, la paix puissent régner.
Kane prendra alors place parmi les quatre ;
Et dans les étoiles La Lune de Nod apportera alors la fin et le commencement :
La divination »
A l'ordre de marcher sur Berlin les troupes poussèrent un cri de joie d'une seule voix, puis commencèrent leur avancée.
*Ad augusta per angusta : “à des résultats grandioses par des voies étroites”.

Nul ne pouvait nous résister. Les plus de quarante-huit mille soldats semblaient être au moins le double. Rien n'était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné ; les chars au-devant des alignements de soldats, les artilleries prêtes à être déployée, et le ciel exempté de la présence des orcas ennemis. C'est en voyant ce ciel bleu tacheté de vastes nuages blancs que je compris. Je compris pourquoi ils avaient refusé le combat. En cas de retraite notre aviation aurait pu causer d'incomparables dégâts à leurs troupes en déroute dépourvues de la protection aérienne dont ils avaient disposé.
A voix basse, je ne pus me retenir d'annoncer :
-« S'ils avaient su notre véritable nombre les choses auraient pu tourner différemment »
-« Vous dites général ? », me dit un commandant à proximité.
-« Rien de bien important. Tout est prêt ? »
-« Oui, général. Nous attendons votre ordre ! »
-« Cette fois au moins j'ai plus de matériel. Envoyez les banshees, que l'artillerie commence. »
Le crissement des vérins se firent entendre et les canons se soulevèrent vers ciel, et déversèrent une pluie d'obus sur les immeubles sur les plus proches d'abord puis ceux un peu plus loin. Quelques instants après, des escadrilles passèrent avec fracas lâcher leurs engins de mort sur un ennemi que nous ne pouvions voir. Ce spectacle réjouissait tout le monde dans le poste de commandement fraîchement déménagé au plus près des hostilités, la bonne humeur laissait même place à quelques plaisanteries.
-« Le GDI doit être content, nous lui offrons un régime riche en fer ! »
-« Je crois plutôt qu'ils vont avoir une indigestion de plombs ! »

L'ambiance changea quand l'heure de l'attaque fut venue.
Les banshees avaient beau répéter que la zone semblait nettoyée, l'absence de présence ennemie me gênait. Mais les ordres sont les ordres, mes troupes devaient conquérir cette cité même si elle devait être mise en ruines.

Pas de pitié pour le GDI, ce fut l'instruction donnée. La progression se faisait lentement ; Quartier par quartier, mais les rares adversaires qui se trouvaient sur le passage de mes troupes, étaient systématiquement tués, blessés ou non. Rapidement, la partie est de la ville était libérée des terroristes du GDI, les principales artères de communication interne de Berlin nous appartenaient. Le nod semblait dominer une nouvelle position.
Le centre ville se trouvait à portée de main, les blindés ne s'arrêtaient plus pour les quelques tirs d'armes automatiques ricochant sur leur blindage, les banshees massacraient les sporadiques regroupements de soldats et plus ceux de lycaons, ouvrant la voie pour l'infanterie.
La facilité avec laquelle la cité tombait me laissa perplexe. D'habitude le GDI, sans se lancer dans des actes irréfléchis et inutiles, ne laisse pas prendre une agglomération de cette importance. La seule réponse plausible qui m'était venue fut un rapatriement massif vers un autre secteur pensant que nous n'allions pas attaquer après les revers accumulés ses deux derniers mois.
Le plus gros des troupes étaient maintenant rassemblées dans le centre ville, afin de permettre un élargissement rapide du front, pour couper les différents groupes d'opposants de tous moyens de communication terrestre.
L'avance fut une nouvelle fois foudroyante. Dépourvus d'armes efficaces contre nos blindés les barricades installées à la hâte ne purent arrêter notre offensive. La partie est et le quart de celle de l'ouest nous possédait, mais une surprise très désagréable nous attendait au-delà.

« Berlin est à nous ! . Les messages de propagande répétaient fièrement ce message.
-« Arrogants…l'ennemi n'est pas vaincu et on annonce déjà la victoire », répliquais-je
-« Et pourtant personne ne semble nous stopper ; Nous l'avons conquise… ! », me répondit un colonel.
-« Général, il semblerait que le GDI est concentré ses forces dans la partie ouest et se prépare à une contre-offensive… »
-« Ridicule, pourquoi aurait-il attendu aussi longtemps ? »
-« D'après un espion ils attendaient l'arrivée de désintégrateurs et d'un prototype, qu'il nomme "mammouth MK3" »
-« Prévenez l'aviation, qu'ils détruisent tout ce qui est plus gros qu'un lycaon dans la partie ouest de la ville »
La multitude d'appareils survolant les immeubles comme des oiseaux de proie se regroupèrent en petits groupes et changèrent de terrain de chasse en allant plus à l'ouest. Ces rapaces commencèrent rapidement à lancer des attaques en piqué sur des cibles cachées par le relief urbain, mes jumelles avaient du mal à me fournir une vision claire de ce qui se passait. Des colonnes de fumées se distinguaient et s'accrochaient au lointain.
-« Général, premier rapport des chasseurs banshees : huit désintégrateurs détruits, deux endommagés attaque sur le mk3 continue… »
-« Très bien. Félicitez-les et qu'ils poursuivent »
-« Vous ne voulez pas connaître nos pertes ? »
-« Nos pertes ? En deux heures d'opération nous n'avons eu aucune pertes en chasseurs. »
-« Hum… ! Il semblerait que le prototype soit très bien équipé en défenses aériennes ; il nous a abattu seize appareils et nos troupes au sol sont incapable de l'arrêter, elles sont aussi de plus en plus harcelées »
-« Qu'elles se replient dans le centre ville. Envoyez nos réserves attaquer leur flanc gauche. Demandez des renforts en chasseurs à la base aérienne. »

En catastrophe les ordres furent transmis La situation me semblait familière, le ravitaillement parvenait difficilement au combattants, les renseignements reçus étaient incomplets et le peu de renforts qui me restait n'était pas suffisant pour changer les choses si je les avais envoyés renforcer le front.
-« L'histoire semble se répéter. », dis-je d'un ton monotone, « ordonnez le repli des survivants vers l' "inexpugnable" »
Un informaticien, juste après ces quelques mots, me demanda. Il me montra qu'un canon à ion se verrouillait sur une zone toute proche.
-« extrapolez la cible probable. »
-« Général, il semblerait que ce soit sur le poste de commandement… »
-« Vérifiez ! »
-« Cible confirmée, général. Il faut partir, ils peuvent tirer à tout moment »
-« Evacuez, tous ! »
Toutes les personnes partirent sans demander leurs restes, mais moi je restai. Un jeune lieutenant, s'arrêta un instant et me supplia de fuir, je fis un mouvement de la tête pour lui signifier mon intention de rester et ne chercha pas à insister. Dans mes derniers instants de vie, alors que j'entendais le rayon arriver, je me dis :
-« mieux vaut çà que le front nord, c'est plus rap… »

Le canon n'attendit pas la fin de la phrase

Fan fiction écrite pour Time Of War par elon weg.

 
 
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