Désignation : Avion de supériorité aérienne Centre d'entrainement : Mikevich-Gurevoyan Aircraft Corp Pays d'origine : U.R.S.S Lieu de production : Héliport Soviétique
Equipement :
Missiles à têtes explosives "Matryoshka"
Fuselage ultrarésistant et léger
Système d'éjection automatique
Stabilisateurs VTOL
Climatisation interne
Histoire:
Après la spectaculaire explosion du prototype d’avion KA-3 Tesla qui vit le pilote de test et le responsable du bureau de design Krasna Aerospace périr, le développement d’un chasseur prit de nouveau du retard. Le désordre absolu régnait dans Krasna, les analystes industriels prédisaient que l’Union Soviétique ne disposerait pas d’un avion de supériorité aérienne avant plusieurs décennies. Ils n’avaient pas pu prévoir que deux jeunes designers visionnaires, Mikevich et Gurevoyan, rejoindraient l’équipe pour créer l’un des meilleurs chasseurs au monde.
Le chasseur Mig est en tout point révolutionnaire. Son arme principale est parmi les plus puissantes au monde, capable de traquer et de détruire les avions ennemis même confrontés aux dispositifs de contre-mesure les plus perfectionnés. Les missiles à fragmentation des MiGs ont obtenu leur surnom « Matryosha » à cause des poupées Russes en comparaison aux multiples têtes explosives contenues dans les missiles qui causent des dommages à l’intérieur de leurs cibles. Cela fait du MiG l’engin idéal pour intercepter les menaces aériennes et escorter les bombardiers et autres avions d’attaque terrestre.
Prévu depuis le début pour être un chasseur le MiG ne dispose pas d’arme air-sol, le rendant très vulnérable aux tirs sol-air. Cependant, face à de telles menaces, les pilotes se remémorent un vieux conte soviétique sur un Ours et un Chien : Quand le Chien aboie à l’approche d’une tempête, l’Ours se réfugie dans sa caverne en attendant de frapper un autre jour. Comme l’Ours, un bon pilote de MiG tirera avantage de la vitesse et de l’agilité de son avion pour rejoindre la base aérienne avant l’arrivée de la tempête.
C’est également le premier chasseur Soviétique à disposer du système VTOL qui lui permet de se déployer d’une base aérienne proche de la ligne de front. Dans un vol normal, la conception aérodynamique donne au MiG une vitesse de pointe élevée et une excellente manœuvrabilité. Cependant, à cause d’un manque de précision dans l’usinage des pièces, le mécanisme pour passer du mode de vol vertical à horizontal manque de maniabilité. De nombreux jeunes pilotes se sont trouvés incapable d’exécuter cette transition, devant par conséquent et dans le plus grand chagrin redonner les commandes à leur instructeur. Ceux qui réussissent à maitriser cette délicate manœuvres se montrent excellents au combat aérien.
En dépit du danger que représente le pilotage des MiGs, la division aérienne est au maximum de sa capacité, le résultat d’un flot inattendu de volontaires s’engageant pour le pénible entrainement nécessaire pour piloter ce genre d’engins. Ceci est en partie du à une campagne de propagande mais c’est surtout l’image d’un valeureux pilote défendant l’Union Soviétique qui fait résonner en eux l’esprit de la mère Russie. Même le documentaire de l’expatrié réalisateur Boris Denisov, La chaise vide, qui a fustigé l’armée Soviétique pour son incompétence et sa gestion lamentable, a peint un portrait fabuleux d’un pilote de MiG, un héros pour le peuple, canardant les avions ennemis et, parfois même, s’élevant en bouclier humain face à l’adversaire pour protéger un Dirigeable Kirov. Son travail finis, Denisov reçut des acclamations posthumes.
L’aura de prestige partagé par les cadets de la Division de Combat Aérien a grandement change la vision des civils, permettant à l’armée Soviétique de commencer son recrutement dès l’école primaire. Des officiers politiques parcours les écoles à la recherche de garçons et de filles ayant le juste dosage de cruauté et de patriotisme, qualités plébiscités depuis des années par le Bureau des Affaires Militaires Soviétiques. Même avec la selection la plus rigoureuse, moins de la moitié des candidats sera retenu, même si tous trouveront un travail dans un service ou dans un autre.
Notes du front:
Missiles explosifs : Le système de missiles « Matryoshka » prend un petit moment pour viser une cible après que la précédente salve de missile soit tirée, pendant ce temps le MiG peut s’éloigner du danger en attendant d’avoir rechargé. Le MiG ne peut contenir qu’un nombre limité de missiles, le forçant à revenir fréquemment à la base.
Supériorité aérienne : Capable de faire face à n’importe quel avion dans un combat un-contre-un, le MiG inspire le respect et la peur aussi bien aux pilotes Alliés que Impériaux. Les bombardiers et autres avions d’attaque terrestre sont extrêmement vulnérable face à sa vitesse et à son armement. Une fois que le MiG est à portée de tir, rare sont ceux qui y survivent.
Prudence : Le MiG est aussi puissant contre les avions qu’il est vulnerable face aux unités sol-air. Si la plupart des menaces au sol sont évidentes, les apparences peuvent parfois être trompeuses : Après un incident prêt de Vladivostok, l’armée Soviétique a conseillé aux pilotes de MiG de se munir de prudence en attaquant les Hélicoptère-VX Impériaux.
Des limites : Quand le traître M. Walker entra dans l’ambassade Soviétique à Rome, il portait avec lui des plans pour un système d’auto-pilotage qui ramènerait automatiquement l’avion à la base aérienne en calibrant simultanément la trajectoire pour compenser les courants atmosphériques, lui permettant de rentrer à la base encore plus vite. Cette technologie Alliée équipe désormais les chasseurs MiGs, augmentant ainsi sa capacité de retraite déjà impressionante.