Pas encore enregistré ? Par ici soldat !
Revenir à la page d'accueil
        Cliquez ici pour vous connecter      Moteur de recherche TOW     Tournois Time Of War
Revenir � la page d'accueil
    . : [E]n 2 mots : .
     Time Of War
     EAP/Westwood
     La série Tiberium
     Renegade
     La série Alerte Rouge
     Generals
     La Terre du Milieu
 
    . : [S]ections : .
     Base de connaissances
     Créations de fans
     Images
     Mods
     Replays
     Solutions
     Stratégies
     Téléchargements
     Liens/Partenaires
 
    . : [D]ossiers : .
     Command & Conquer
     Soleil de tiberium
     Guerres du Tiberium
      +Kane's Wrath
     Crépuscule de Tiberium
     C&C Renegade
     Tiberium
     Alerte rouge 1
     Alerte rouge 2
      +La revanche de yuri
     Alerte Rouge 3
      +La Révolte
     C&C Generals
      +C&C Generals Heure H
     La Terre du Milieu
     La Terre du Milieu 2
      +R. Of The Witch King
 
    . : [L]es forums : .
     La série Tiberium
     La s�rie Alerte Rouge
     Generals / Heure H
     La Terre du Milieu
     Time Of War
 
    . : [A]ffiliés : .
     CnCGenerals World
     CNCNZ
     Jeux Stratégie
     Tom Baxa
     War Of Generals

� Jios // Kloobik.com

 
 
 
Les fan fictions
Les fan fictions  


. : [C]ontenu : .
 

Le Crépuscule du Tybérium……

Note de l’auteur : Tom est le diminutif de Thomas, qui se prononce « Tomasse »


Les champs de tybérium de Hongrie offraient, chaque soir, un étrange et incomparable spectacle. En effet, au coucher du soleil, les petites fleurs de tybérium s’ouvraient, révélant de petits cristaux bleus, parfois rouges. Du haut de la falaise de Gelliomarcikia, on pouvait voir les immense champs de tybérium brûler d’un étrange et froid feu bleu et rouge. Ce jour-là, Tom Anslow n’était pas venu pour regarder ce magnifique et étonnant spectacle.
Il devait guider des bombardiers A-10 pour détruire la base du Nod qui se trouvait dans la vallée, où les collecteurs ravageaient le magnifique panorama. Il avait examiné la base avec ses jumelles et, au milieu de celle-ci, se trouvait un étrange édifice, composé d’une sphère soutenue par trois pieds légèrement incurvés vers l’extérieur. La nuit, la sphère émettait Un douce et fantastique lumière bleue, rajoutant ainsi à son étrange beauté. Il avait demandé aux pilotes d’essayer des l’épargner lors du bombardement, mais il n’y comptait pas trop, connaissant le caractère aléatoire du point d’impact des bombes.
Il était tellement pensif qu’il n’entendit le son de sa radio que 2 minutes plus tard. L’allumant, il se demanda ce qu’on lui voulait.
-« Grand mère à Renard Blanc, confirmez coordonnées de la cible. »
-« Renard Blanc à Grand mère (mais qu’avait-il donc fait pour mériter un nom de code pareil),
coordonnées 3-19-07-91, quadrant 9, zone Yotta-2. Confirmation code de frappe Phacochères Eclair 3-0. »
-« Bien reçu Renard Blanc, quittez la position et rejoignez Phasar-Micran. Grand mère, terminé. »
Phasar-Micran, c’était le nom de code d’un petit monticule creux dans lequel on entrait grâce à une porte camouflée.
Il prit son fusil de sniper, ses macrojumelles et le reste de son équipement et descendit dans la vallée par le petit chemin montagneux qu’il avait pris pour monter de la vallée.
Il ouvrit la porte camouflée du monticule et découvrit le fusil mitrailleur lourd de précision qu’on avait laissé à l’intérieur pour que l’agent qui si trouvait puisse empêcher la retraite du Nod.
Il entendit le sifflement des moteurs de bombardiers A-10, et presque tout de suite le bruit des missiles SAM qui tentaient vainement d’arrêter le déluge de feu des bombes au Napalm.
Soudain, l’obscurité de la nuit profonde fut transpercée par une éphémère aube rougeâtre qui semblait vouloir dominer la nuit par ses explosions.
Soudain, Un gigantesque éclair bleu engloutit la nuit et le feu, la vie et la mort pour s’éteindre presque immédiatement sans avoir laisser aucune concession à la réalité, semblant avoir entraîné à sa suite toute la base dans le néant…………

Base d’Hammerfest, Norvège
25 ans plus tard
Tom Anslow regardait la base d’Hammerfest à travers la fenêtre blindée de son bureau. La tempête de neige plaquait les appareils au sol. Cela n’avait plus beaucoup d’importance, ils ne décollaient que rarement depuis la défaite du Nod au Caire.
Mais Tom ne s’en souciait pas. Depuis 25 ans, il ne pouvait pas penser à autre chose que la sphère de Hongrie, qui n’existait plus, détruite par une bombe au Napalm.
Derrière lui, la porte de son bureau s’ouvrit, révélant un homme de taille moyenne, qui arrivait vers ses 35 ans, son visage aux formes rondes mais mince exprimait, comme toujours,
une douce dureté et une inébranlable détermination. Tom, lui, commençait à faire ses premières concessions aux cheveux gris, qui formaient de petites mèches grises au milieu de ses cheveux bruns souvent coiffés avec les doigts.
-« Tom, on a un appel direct de Philadelphia, dit-il. Le général Parker veut te parler. »
Tom. Cela faisait longtemps qu’on ne l’avait plus appelé par son prénom. Dans, tout le monde l’appelait « Commandant », « Monsieur », « Chef ». Mais Raphaël était le seul à oser l’appeler Tom.
Son bureau se trouvait au sommet d’une tour qui se trouvait un peu derrière le centre du bâtiment, la salle commandement se trouvant à l’avant de celui-ci.
Lorsqu’il entra dans la salle, tout le monde se mit au garde à vous, mais son attention fut attirée par l’énorme vitre qui couvrait les trois quarts de la surface du mur avant, vers lequel toutes les consoles étaient placées.
Cette vitre était l’écran de contrôle, dont l’affichage était invisible de l’extérieur et parfaitement transparent quant il étaient désactivé.
L’écran affiché l’image du général Parker, et celle de la station Philadelphia dans le coin supérieur gauche.
-« Général, fis-il en se mettant au garde à vous. »
-« Commandant Anslow, repos. Désolé de vous dérangez, mais vous devez venir sur Philadelphia de toute urgence. »
-« Mais pourquoi, demanda Tom. »
-« Je ne peux pas le dire ici, dépêchez vous, c’est urgent ! »
-« Bien général, je part immédiatement. »
-« Parfait, Parker, Philadelphia, terminé. »
-« Préparez immédiatement le Pacific au décollage, cria Tom en sortant de la salle de commandement. »
Le Pacific était un vaisseau spatial des plus récents, faisant 24 mètres de long et pouvant atteindre sas difficultés les 150 000 kilomètres à l’heure dans l’espace.
Tel une trombe, Tom passa le sas, descendit les quatre marches et s’assit dans le fauteuil du commandant.
-« Tout est prêt, demanda-t-il. »
-« Les systèmes sont opérationnels et l’ordinateur de navigation a les coordonnées, répondit l’officier responsable de Systèmes Techniques de Navigation et de Survie, un dénommé Schmitt. »
-« Nous avons l’autorisation de décoller et nous avons le couloir orbital 203, annonça Raphaël qui était assis devant la console d’armement et de communication. »
-« Bon, dépêchons nous, nous sommes attendu. »
Dans un hurlement de tonnerre, le Pacific, ses réacteurs braqués vers le sol, s’éleva doucement au-dessus de la piste d’envol et s’envola à toute vitesse.
-« Le voyage vers Philadelphia devrait durer à peu près 30 minutes. »
A travers la vitre blindée du cockpit, Tom voyait les montagnes et les plaines norvégiennes éternellement enneigées défiler et rétrécir, jusqu’à être minuscules et disparurent, cachées par les nuages.
-« Station Philadelphia, ici Pacific EA-18, nous apprêtons à nous engager dans la voie sub-orbital 203a, altitude 45000 pieds, annonça Raphaël. »
Soudain, dans l’immensité bleue à laquelle les nuages avaient cédé leur place, Tom aperçu un minuscule point noir, semblant se rapproché d’eux.
Soudainement, une lumière rouge orangée surgit du point noir, et un éclair rouge frappa le Pacific de plein fouet.
-« Alerte !! Bouclier à pleine puissance ! Raphaël ! Alerte Philadelphia ! Qu’ils envoient des renforts ! cria Tom dans l’assourdissant hurlement des alarmes. »
A travers la vitre, l’attaquant était maintenant plus visible et distinct.
C’était un chasseur Vortex du NOD, facilement reconnaissable à son nez courbé, son fuselage noir et les deux canons laser qui crachait des torrents de feu à chaque bout de ses ailes.
Les boucliers supportèrent une seconde salve, mais il cèderaient à une troisième.
« Les chasseurs décollent de Philadelphia ! dit Raphaël, ayant entre temps mis les alarmes en mode silencieux. »
« Mets les armes en batteries, dit Tom. Il faut résister jusqu’à leur arrivée ! »
La tourelle principale était armée de deux canons à impulsions soniques, et pouvait être dirigée depuis la passerelle. Raphaël s’assit devant la console de commande, saisit les mannettes et commença à canarder le Vortex d’un déluge de bandes turquoise qui sortaient des canons.
Mais déjà le Vortex se remettait en position d’attaque, évitant un tir qui lui aurait été fatal grâce à une chandelle admirablement exécutée.
Dans un ultime essai, Raphaël tira.
Son coup passa juste à coté du chasseur Nodi, mais les distorsions causées pas l’impulsion aspirèrent l’aile du Vortex, l’envoyant en perte de vitesse et l’empêchant par la même occasion de porter le coup fatal au Pacific.
Mais un trait de laser atteignit le vaisseau, transperçant le mur énergétique du bouclier et broyant littéralement le poste de tir droit, déclanchant une myriade d’alarmes et le hurlement des sirènes.
« On a été touchés ! cria Schmitt. Les portes de sécurité sont fermées, mais des débris ont atteint le bloc moteur droit ! »
Soudain, un deuxième Vortex apparu……….
……..Et fut presque immédiatement transformé en boule de feu par un missile tiré par un des Skystars qui venaient d’apparaître dans le ciel bleu.
-« SkyHawk leader à Pacific. Toujours heureux de nous voir non ? dit le pilote. »
-« Merci d’avoir abattu ce chasseur, dit Jérôme. Sans vous, on serait en train de jouer avec les oiseaux. »
-« Ok, on vous ramène à la maison. »

Dans le hangar 2-A de la station Philadelphia, Tom regardait le Pacific, dont la coque était percée par une dizaine de trou, heureusement de petite taille.
Raphaël avait été blessé par un éclat de métal s’était fiché dans son bras quand une aile du second Vortex avait heurté le Pacific.
Derrière lui, la porte du hangar s’ouvrit, révélant un petit homme gros, dont les cheveux roux en bataille se rabattaient parfois sur son visage joufflu aux yeux verts.
-« Le Général Parker vous attend dans son bureau, dit-il. Je dois vous y conduire. »
-« Je vous suis, répondit Tom. »
Après un trajet passant par des couloirs, des coursives et des ascenseurs, Tom arriva dans le bureau du Général, le petit homme s’éclipsant quand il entra.
-« Mon Général, dit Tom en se mettant au garde à vous. »
-« Repos, commandant dit le Général Parker. Je vais être bref, car la situation est grave. »
-« Comme vous le savez, notre programme de construction spatiale expérimental à donné naissance à plusieurs vaisseaux, dont le Pacific sur lequel vous êtes arrivé. Un vaisseau d’exploration de plus grande taille est parti pour explorer les satellites de Jupiter, dont plusieurs sont de tailles respectables et recèlent des métaux très précieux en leur sous-sol.
Hier, ce vaisseau nous a envoyé un message de détresse, mais il fut coupé, tous ce que nous avons pu identifier est cette image. »
Il sortit une photo de son bureau et la déposa sur son bureau.
Elle montrait un objet de forme effilée, un espèce de dôme ovale sortant de son seul coté visible.
-« C’est un astéroïde ? demanda Tom. »
-« C’est ce que nous avons pensé au début, mais maintenant nous avons la certitude qu’il ne s’agit pas de ça. »
-« Que voulez-vous dire ? »
-« Quelques heures plus tard, nous avons détecté une flotte de vaisseaux qui quittait l’orbite de Jupiter juste derrière ce vaisseau extraterrestre ……………………………

Tom s’était assis et restait ébahis, comme assommé par la nouvelle.
-« Des extraterrestres ? demanda-t-il, pas franchement convaincu. »
-« Rassurez vous, dit le Général Parker, personne ici non plus n’y croyait. »
-« Mais comment pouvez vous être certain de ça ? questionna-t-il, s’étant ressaisi. »
-« Et bien, nous avons demandé au télescope spatiale Hubble 2 de faire des photos pour étayez nos dires auprès des Nations Unies, en cas, ce qui est plus que probable, d’invasion extraterrestre. »
Il sortit une photo d’un autre tiroir.
Sur celle-ci apparaissait, vague et sombre, un objet effilé, flanqué de deux petits dômes de chaque coté de sa « proue » que, telle une excroissance incongrue, surmontait une espèce de tour au dessus de laquelle se trouvait un espèce de champignon aplati, un dôme d’un bleu profond se trouvant en son milieu.
-« C’est un des vaisseau en question ? demanda Tom. »
-« Oui, et, apparemment, il s’agirait d’un vaisseau de reconnaissance, car il est de petite taille. »
-« Continuent-ils d’avancer ? »
-« Ils se sont arrêtés près de la Grande Ceinture d’Astéroïdes. Probablement attendent-ils qu’un passage apparaisse. »
-« En imaginant que, comme dans tous les films vieillots et classiques qui existent sur le sujets, le extraterrestres attaquent, que pourrons nous faire ? »
-« Nous ne savons pas, mais nous espérons que vous pourriez nous aider. »
-« Pourquoi moi ? Que pourrais-je faire ? »
-« Vous, car, il y a 25 ans, vous avez vu un des rares objets extraterrestres qui existent sur Terre. »
-« La sphère…………………………… »
-« Exactement. »
-« Mais j’ignore tout de ce dont il aurait pu s’agir ! »
-« Mais ce que vous avez vu pourrais aider nos chercheurs. »
-« Quels chercheurs ? »
-« Ceux de la Zone 51. »
-« La Zone 51 ? Celle où serait le vaisseau extraterrestre qui se serait écrasé en 1951 ? »
-« Pas le. Les vaisseaux. »
-« Les ? »
-« Celui de 51, mais aussi celui de Sarajevo. »
Sarajevo.
Faut-il que toutes les mauvaises augures se rapportent à cet endroit, où se trouvait le Temple de Nod, et le berceau d’une des plus Horribles Batailles du 21ème Siècle ?
-« Le Temps presse, Tom. Il faut que vous partiez immédiatement pour la Zone 51. »
-« Mais comment ? Le Pacific est hors d’état de voler ! »
-« Avec le Kodiak 2. »
-« Le quoi ? »
-« Le Kodiak 2. Il s’agit du plus moderne de nos vaisseaux, et certainement du plus grand du monde actuel. Mais nous n’avons plus le Temps, Tom. Il faut partir.»
-« Bien. Mon Général, dit Tom en se levant et saluant Parker. »
Il sortit.
Dans le hangar 2-A, le Pacific avait été placé à l’intérieur d’un échafaudage de réparations qui prenait bien le tiers du volume de la salle pressurisée, donc l’atmosphère n’était retenue que par un champ de rétention magnétique, où les techniciens s’affairaient à réparer les trous de la coque.
Devant se trouvait la petite navette qui devait le conduire aux chantiers où se trouvait le Kodiak 2.
La tête de Raphaël sortit du sas et, apercevant Tom, lança :
« Ah Tom ! Nous t’attendions ! »
« Comment va ta blessure ? »
« Bah c’est juste une petite égratignure (Raphaël ne semblait pas prendre ça aux sérieux), ça guérira. »
« Et bien en route ! »
Le sas se referma derrière Tom, qui entendit le sifflement de la pressurisation de l’intérieur du petit vaisseau.
La navette pivota en s’élevant du sol, les parois du hangar faisant place à l’immensité infinie du vide spatial.
Après quelques minutes, les super structures des chantiers navals du GDI faisaient leur apparition au milieu de l’interminable océan noir de l’univers.
Et Tom compris pourquoi le Kodiak 2 n’était pas dans un hangar de Philadelphia.
Sous ses yeux ébahis apparaissait le Kodiak 2, ses 247 mètres s’allongeant d’un bout à l’autre du complexe de construction.
Hérissés de canon soniques et de mitrailleuses à impulsions, ce monstre était capable d’atteindre la vitesse gigantesque de 4 000 kilomètres à la secondes, soit 3330 fois plus que la vitesse du son !
A sa proue se trouvait la verrière blindée de la passerelle de commandement, dont le sommet était surmonté d’un canon à impulsions soniques lourd dernier cri.
Tom n’avait jamais imaginé monter à bord d’un tel vaisseau, et encore moins le commander.
La navette entra dans le hangar principal du Kodiak, dans lequel se trouvait 4 chasseurs spatiaux StormHawk 2000, dont le profil effilé rappelait un quelconque vaisseau sortit d’une récit de science-fiction.
Le sas s’ouvrit, laissant l’air du hangar stérile entrer dans la cabine.
Au bas de la passerelle de débarquement, un homme grand et robuste, dont les cheveux châtains coupés courts faisait ressortir les yeux bruns d’une étrange façon, se retourna et dis en apercevant Tom :
-« Ah ! Commandant Anslow ! Vous voilà enfin ! Je suis le capitaine Gui Gregorovski, le capitaine de ce vaisseau. » Dit-il en tendant la main et sans même effectuer le salut militaire.
-« Enchanté de vous connaître, capitaine. » Dit Tom en lui serrant la main.
-« Mes amis m’appellent Guigui, et je préfère ce surnom. »
-« Et bien Guigui, vous êtes le capitaine du vaisseau ? »
-« Oui, c’est moi qui le commande, mais je suppose que vous allez vous en occuper ? »
-« Je pense que vous vous en occuperez mieux que moi ! Je n’aime déjà pas prendre l’avion ! » Dit Tom en souriant.
Tout en parlant, ils étaient arrivés devant la porte blindée du hangar, à coté du quel se trouvait un terminal.
-« Posez votre main sur la plaque tactile et obéissez aux instructions d’enregistrement. » Dit Gui.
-« Déclinez votre grade, prénom, second prénom, nom, nom de la mère, nom du père, age, sexe, matricule, corps et armée. » Annonça une voix synthétique quand il posa la main sur la plaque.
-« Commandant Thomas Jérôme Anslow Stones Anslow 53 ans masculine 059612 Opérations Spéciale Troisième Armée du GDI. »
-« Authentification terminée. Bienvenue, commandant Anslow. » Dit la voix avant de disparaître.
La porte s’ouvrit.
Ils débouchèrent dans un long couloir qui semblait aller d’un bout à l’autre du Kodiak.
Ils passèrent par divers croissements, devant de multiples portes débouchant sur des dortoirs, des cantines ou des stocks d’armes.
Le Kodiak était, par sa configuration, plus grand qu’un porte-avion américain, où il était déjà parfaitement possible de se perdre sans carte.
Tom était abasourdi de toutes les choses qu’on entreposait dans un vaisseau spatial que jamais personne n’aurait cru réel sans se trouver à l’intérieur.
Finalement, ils arrivèrent devant une porte blindée, comme toutes les autres d’ailleurs, où était indicé en caractère latin et en anglais : « Passerelle de commandement – Sécurité Niveau Trois- . ».
C’était bien là..
Tom ignorait quel niveau de sécurité était le plus élevé dans le Kodiak, mais le Niveau Trois était toujours synonyme de secret et, à défaut de secret, de surveillance.
La Porte s’ouvrit lorsque Gui prononça le mot de passe en appliquant sa main sur la plaque tactile et en tapant le code de sécurité.
Alors Tom, Raphaël et Gui entrèrent en même temps, Raphaël et Tom découvrant pour leur part les consoles, la verrière et le fauteuil du commandant qui, comme tout dans ce vaisseau, semblait les dépasser.
Tous les membres d’équipage présent sur la passerelle se levèrent et portèrent leur main au front pour saluer que déjà Gui leur dit de se rasseoir.
Etrange et sympathique personne que ce Gui qui semblait pourtant prendre d’étrange libertés face au protocole militaire.
Tom découvrit alors ce qui rendait cette passerelle encore plus spéciale, l’écran nanotique qui se trouvait au milieu de la salle, dont les fins contours métalliques soutenaient l’écran qui n’existait pas.
Les images semblaient se former dans l’air, comme si elles apparaissaient du néant dans ce rectangle de métal et de circuits qui était la pointe de la technologie moderne de cette planète.
Qui n’avait même pas encore atteint le stade du voyage spatial à grande échelle, contrairement à cette civilisation extraterrestre qui semblaient les menacer.
-« Et bien, qu’en dites vous ? » Demanda Gui.
-« C’est super stupéfiant ! » Dit Tom en guise de réponse.
Raphaël se contenta de le regarda avec des yeux qui ressemblaient davantage à des soucoupes qu’à des yeux.
-« Et…..Et nous décollons quand ? » Demanda Tom.
-« Le vaisseau est prêt, on attend plus que vos ordres. »
-« Mes ordres ? »
-« C’est vous qui commandez le Kodiak ! »
-« Ah oui ! (Tom réussit à sortit d’un état second sans doute provoqué par tant d’étonnement) Et bien…….. Partons ! »
-« Bon. A tout l’équipage, nous partons, lança Gui dans le micro se trouvant sur l’accoudoir du fauteuil de commandement. Destination, Zone 51, Coordonnées 5-17-38 Désert de Mojave. »
-« Asseyez vous, dit-il à Tom et Raphaël. Il faut se dégager des superstructures. »
Tom se dirigea vers le siège qui se trouvait devant une console où une étiquette métallisée indiquait : « Contrôle de l’Artillerie et des Systèmes Défensifs. ».
Tom se demanda pourquoi le servant de la console n’était pas là, mais sa pensée fût coupée par la voix de Gui.
-« Commandant, vous dirigez le vaisseau ! Vous devez vous asseoir à la place du Commandant, dit-il en désignant le fauteuil. »
-« Non. Je vous donne le commandement. Vous vous débrouillerez sans doute mieux que moi ! »
Gui haussa les épaules et s’assit dans le fauteuil.
Il commença à donner ses ordres :
-« Contrôle Machines, les moteurs sont-ils prêt ? »
-« Contrôlés et parés à fonctionner ! »
-« Navigation, tout les systèmes sont opérationnels ? »
-« Entièrement contrôlés et opérationnels. »
-« Artillerie, Tourelles et Canons prêts au feu ? »
-« Entièrement chargés et parés à faire feu, répondit Raphaël, qui se trouvait à coté de Tom et qui était depuis longtemps rompus à la tache qu’il effectuait »
-« Bon et bien en route ! Moteurs à septante-cinq pour cent du nominal.» Lança Gui d’un ton satisfait.
Le Kodiak venait de se dégager des superstructures quand l’officier de navigation dit :
-« Capitaine, le Général Parker veut vous parler. »
-« Sur écran »
L’écran sans écran se déplia et l’image du Général Parker se matérialisa entre les minces tiges de métal.
-« Heureux de vous voir, Général. Que me vaut l’honneur de cet appel ? dit Gui en souriant »
-« Capitaine Gregorovski ? Où est donc le Commandant Anslow ? »
-« Je suis là. Dit Tom en se mettant dans le champ de vue de la micro caméra. Que se passe t-il ? »
-« Les extraterrestres sont passés. Il y a quelques minutes, une fenêtre de passage s’est ouverte dans la Ceinture Supérieure, et les extraterrestres se sont empressés de passer. Leur flotte franchit cette fenêtre en ce moment même, et il se dirige vers nous à toute vitesse ! »
-« Et qu’allons nous faire ? » demanda Gui sans même s’étonner ou demander de quels extraterrestres il s’agissait.
-« Vous n’avez plus temps d’allez en Zone 51. S’ils attaquent, nous n’aurons que trop besoin de vous en défense. On va essayez de vous donner un relais vocale et vidéo avec eux, pour que vous puissiez leur parlez. »
-« Combien de temps avant qu’il n’arrive ? »
-« Cinq heures, peut être six…. »
-« Bon. Que tous les vaisseaux de combat disponible se rendent en orbite sur le niveau de Philadelphia. Que les armes et les missiles terrestres soient pointés vers eux. A la moindre attaque, feu à volonté. »
-« Vous ne pouvez pas prendre une telle décision, capitaine ! Je vais rappeler un grand nombre de vaisseau pour préparer une éventuelle défense, mais en aucun cas les sites missiles au sol ne doivent être impliqués ! »
-« Et le NASDA ? »
-« Je vous demande pardon capitaine ? »
-« Le North American Strategic Defense Agency. Vous savez parfaitement de quel système de défense nucléaire orbital je veux parler. »
-« Vous n’êtes pas censé être au courant de son existence ! De toutes façons nous ne pouvons pas réorienter les satellites vers l’espace ! »
-« Et pourquoi ça ? »
-« Le NASDA est notre ultime défense nucléaire terrestre. Il n’a jamais été prévu qu’il doive être réorienté vers l ‘espace ! »
-« Et les défenseurs laser ? Les lasers à impulsions sont réorientables non ? »
-« Oui, mais ces armes sont expérimentales. Seul un petit nombre de satellites lasers a été mis en service. »
-« Bon. Ne comptons pas sur les lasers. Vous avez la liaison avec la Zone 51 ? » Dit Tom.
-« Oui. Je vous la passe. Parker, Philadelphia, terminé.»
L’écran qui n’existait pas devint transparent quelques secondes, puis l’image d’un homme en blouse blanche de chercheur apparut. L’homme avait des cheveux noirs mi-longs qui entouraient un visage légèrement joufflu coupé en deux par un gros nez busqué au dessus duquel deux grands yeux bleus les regardaient à travers l ‘écran.
-« Commandant Anslow, je présume ? » Dit-il en regardant Tom.
-« C’est bien moi. Et vous, qui êtes vous ? »
-« Je suis Allan Hackerovski, directeur de recherche de la Zone 51. »
-« Bon. Qu'est ce que vous avez dans votre labo ? »
-« Commandant, qu’avez vous vu en Hongrie ? »
-« Et bien….. Une sphère faite d’un espèce de métal bleuté soutenue par trois pieds légèrement incurvés vers l’extérieur. »
-« Hum……… C’est ce que nous pensons être un système communication extraterrestre. Nous avons retrouvé des variantes de tailles diverses dans les deux vaisseaux, mais sans avoir toutefois réussi à les faire fonctionner. »
-« Et que savez vous de la technologie extraterrestre ? »
-« Les Scrins, comme nous les appelons, disposent d’une technologie très avancée et très différentes de la notre. Leurs systèmes semblent obéir grâce à des impulsions neurales, car nous n’avons trouvé, à quelques exceptions près, aucune manette, levier ou touche qui puisse les actionner. »
-« Des exceptions ? Que voulez vous dire ? »
-« Nous avons trouvé des systèmes mécaniques qui permettent de faire bouger manuellement ce qui semblerait être des tourelles d’armement. Cependant, nous n’en sommes pas surs. »
« La matière qui composent leurs vaisseaux semble être un métal d’origine inconnue, extrêmement résistant aux chocs qu’ils soient cinétiques, thermiques ou énergétiques. »
-« Donc, nous savons à quoi nous en tenir. Avez vous retrouvé des aliens ? »
-« Non, il n’y avait pas de corps dans aucun des deux vaisseaux. Nous supposons que le Nod a nettoyé le vaisseau de Sarajevo. Pour celui de Roswell, nous ne savons pas. »
-« Et qu’en est-il de………….. »
La transmission fut coupée.
-« Alerte ! Cria l’officier de communication. Le satellite relais a été détruit ! »
Derrière la verrière, des formes floues et bleutées commençaient à apparaître.
-« Les Extraterrestres………………. » Dit Tom à voix basse.
Les dômes et les pointes des vaisseaux commençaient à prendre forme dans l’insondable obscurité de l’Espace.
Autour des grands, des multitudes de petits points bleu foncé fourmillaient.
-« Ho mon Dieu ! » Chuchota Raphaël.
Un petit vaisseau commercial surprit par les tirs extraterrestres explosa.
-« Ca y est. Dit Tom. L’invasion a commencé…………………….

La passerelle était silencieuse. Derrière la verrière, les vaisseaux extraterrestres continuaient de se diriger vers la Terre , se préparant à sonner le glas de l'humanité.
Soudain, presque tout les vaisseaux que Tom pouvait voir se retournèrent, et chargea le Kodiak tel une horde de taureau se ruant sur un pauvre toréador désarmé.

« Mettez toutes les armes en batterie, chuchota Tom d'une voix faible mais suffisamment forts pour qu'on l'entende. »

Il se rassit devant la console qui lui permettait d'accomplir son propre ordre, et demanda dans le même instant :

« Gui, sommes nous capable de les repousser ? »
« Fussent-ils dix, ou même vingt que nous pourrions nous en sortir facilement. Mais à un contre cinq cent………. »
« Bon. Raphaël, mais les systèmes de défense en automatique. Qu'ils tirent sur tout ce qui n'est pas ami. Quand à moi, je m'occupe du Canon Lourd avant. »

Il transféra le contrôle de sa console sur celle de Raphaël, et activa le contrôle manuel du Canon Sonique Lourd qui se trouvait sur la proue du vaisseau.
Il saisit les manettes de contrôle et vit le réticule de visée du canon apparaître sur l'écran.
Il ajusta le viseur sur un des innombrables vaisseaux qui se rapprochait maintenant dangereusement du Kodiak.
Les chasseurs Scrins tirèrent.
Dans le même instant, Tom appuyât sur la détente.
Les traits d'énergie indigo s'écrasèrent sur le bouclier du Kodiak, formant des auréoles et des vaguelettes sur la bulle protectrice.
Tom vit le chasseur qu'il avait visé exploser, détruit par la puissante vibration sonique du canon.

-« Passerelle aux Machines, moteurs à fond ! Nous allons devoir partir très rapidement ! » Cria Gui dans l'intercom.

Il venait à peine de terminer sa phrase que le vaisseau fut secoué par une violente explosion, et les lumières de la passerelle vacillèrent un instant avant se rétablir.

-« Le Générateur de Bouclier principal a sauté ! » Cria le technicien qui se trouvait devant la console qui se trouvait à la gauche de Tom.
-« Les moteurs ont été touchés ! Cria un autre technicien, réussissant à surmonter le brouhaha général.
-« Toute la puissance dans les boucliers secondaires et les canons ! Que le Kodiak s'éloigne au plus vite des vaisseaux extraterrestres ! ».

A travers la verrière, le combat faisait rage.
Les canons rugissaient et déversaient sans cesse des torrents d'énergie et de feu, tandis que les vaisseaux extraterrestres explosaient, non sans tirer sur le Kodiak, lui infligeant un dur coup à chaque salve.
Tom était presque collé à l'écran de sa console, pressant sans cesse la détente faisant détoner le puissant canon sonique se trouvant à l'avant du vaisseau.
Soudain, les vaisseaux extraterrestres rompirent le feu et firent demi-tour, abandonnant le combat.

« Ils….ils fuient ! » Eclata Raphaël. Ils fuient ! »
-«  Bon, ne nous attardons pas ici ! Dit Gui d'un ton anormalement calme. Eloignons nous au maximum. Et qu'on fasse un rapport des dégâts.

Tom se laissa aller vers l'arrière et tomba sur le dossier rembourré du siège.

-«  Et on fait quoi maintenant ? » Demanda t-il.
-«  Je pense qu'il voudrais mieux chercher un endroit sur où se replier, puis essayer de contacter Philadelphia, si elle est encore entière. » Fit Raphaël.
-«  Mouais. On sait pourquoi ils ont rompu le combat ? »
-«  Oui ! S'exclama un technicien, presque euphorique. Il semblerait qu'ils se rassemblent dans une zone spécifique. »
-«  Ca, quand on se rassemble, c'est généralement au même endroit pour tout le monde ! » Fit Tom, ironique.
-«  Où se rassemblent-ils ? » Demanda Gui.
-«  En orbite géostationnaire au dessus du Golfe du Mexique. »
-« Ok. Navigation, vous avez trouvé un endroit sur pour se poser ? »
-« Dans notre base de mise au point d'arme orbitale sur les côtes méridionales du Lac Baïkal, en Sibérie. » Répondit un sous officier.
-« Je sais où est le lac Baikal, Merci ! Répondit Gui. Ok pour la Sibérie.  »
-« Le vaisseau pourra t-il résister à une descente dans l'athmosphère ? » Interrogea Raphael.
-« Bien sur qu'il résistera ! » Rétorqua celui-ci en tournant vers eux un visage à l'expression exaspèrée.
-«  Commandant ! Cria un technicien qui venait de franchir la porte de la passerelle. Nous avons pris la liberté de laisser une balise relais à proximité des forces extraterrestres et…..euh…il se passe quelque chose. »
-« Affichez moi ça sur l'écran principal ! » Ordonna le dit commandant.

Le technicien sauta sur un terminal et tapa quelques commandes sur le clavier. L'écran se déploya alors et, dans les cadre métallique des supports, apparu une vision qui leurs paraissaient stupéfiantes après leurs combats contre les chasseurs extraterrestres.
Sur le fond noir tacheté d'étoile de l'espace, les vaisseaux ennemis se dispersaient, fuyant les coups d'aiguilles d'énergie pourpre qui transperçaient les astronefs, les trouant ou les faisant exploser.

-« Faîtes moi un gros plan là dessus ! » S'exclama Gui en désignant un petit point brillant.

L'image grossit alors, et pris la forme d'un objet à la forme semblable à celle d'une raie, à la coque aux reflets rouge sombre et, sur chaque aile du vaisseau, l'hexagone irrégulier et la queue de scorpion.

-« Des…....des vaisseaux du Nod ! S'écrièrent tous les occupants de la passerelle en même temps.

Le technicien remit alors l'image en mode de vue globale, Montrant les vaisseaux nodies, pourtant inférieurs en nombre, mettre en déroute les appareils ennemis, ne pouvant échapper au coup mortels des lasers et aux armes trop faibles pour entamer la coque spéciale des raies.
Soudain, une multitude de points turquoise se mirent à briller à la surface de la Planète , et des lances d'énergie bleu ciel s'élancèrent pour transpercer les plus gros vaisseaux extraterrestres, qui causaient quelques difficultés au laser du Nod.

-« Dîtes moi qu' je rêve ! »Dit Tom, ahuri.
-« Commandant, nous avons une demande de liaison avec Philadelphia, averti un technicien des communications. »
-« Visuel, dit Gui. »
L'image du combat qui sévissait au loin fut alors remplacé par celle du Général Parker, qui avait l'air fatigué mais toujours vif.

Ce fut Tom qui prit les devant : -«  Général ! Comment se fait-il que…….. »

-« Je vais vous expliquer commandant, coupa Parker. Je me suis arrangé pour conclure une coopération avec le Nod. Ils ont envoyé leur flottille de vaisseaux de combats pour retenir l'ennemi pendant que les canons à ions au sol chauffaient. »
-« Je vois… La Station à été attaquée ? »
-« Non, nous n'avons heureusement eu droit à aucun assaut. »
-« Si je peux me permettre Général, intervint Gui, connaît-on l'importance des forces extraterrestres. La force que nous avons affrontée ne devait être qu'une unité de reconnaissance, je présume ? »
-«  Vous présumez bien, capitaine Gregorovski. Nous avons repéré des forces beaucoup plus importantes entre Mars et la Ceinture. Il y en a probablement encore près de Jupiter. »
-« Bien sur….. Général, Malgré sa résistance, le Kodiak a besoin de réparations. Avons nous l'autorisation de rejoindre immédiatement la Base de recherche de Bargouzin ? »
-«  La Base du Baikal ? Pas de problème. »
-« Dans ce cas, nous allons prendre immédiatement la direction de la base. »
-« Parfait. Au revoir, capitaine. Philadelphia, terminé. »
L'écran s'éteignit au moment où la logique aurait voulu que l'équipage exécute le salut militaire, mais il n'en fut rien.
-« Bon et bien…. Allons y ! »

Fan fiction écrite par Guigui

 
 
. : [R]echerche : .
 

 


. : [L]es dossiers : .
 


Les unités et bÃ...
Les fan fictions
L'histoire
Jouer à CnC Gold...
C&C: The First De...
C&C: Le monde ne ...
C&C: humour, eate...
C&C: 10 ans d\'hi...
10 ans de C&C: tÃ...

 


. : [S]ections : .
 


Dossiers
Downloads
Créations
Images
Solutions
Stratégies

 


. : [D]ownloads : .
 


Audio-video
Divers
Patch
Sauvegardes

 




Copyright © 1996-2005. Tous droits réservés.
Reproduction totale ou partielle interdite sans l'autorisation de l'auteur
Flux RSS jeux  Flux RSS g�n�ral (news TOW, jeux, hors sujets)