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C&C: 10 ans d\'histoire
C&C: 10 ans d'histoire  


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Command & Conquer: 10 ans d'histoire

 

Nous sommes en 1995, et cela fait maintenant trois ans que nous nous sommes pris une première claque avec Dune 2 des studios Westwood. La joue encore toute rouge, nous tendons désespérément la seconde en attendant de nous en voir décocher une qui nous fera faire trois tours de tête… Et elle arrive ! Après de nombreux mois de développement, la terre entière découvre médusée le premier Command & Conquer en juin 1995 : Le conflit du Tiberium (Tiberian Dawn pour la version US).

Très bien noté par toute la presse jeu vidéo du moment, ce style de jeu n’est pourtant pas voué à un grand avenir d’après certains (rares) magazines : un wargame épuré de toute la gestion compliquée qui fait le bonheur des puristes, et, blasphème, en temps réel, il ne faut pas exagérer tout de même ! Oui, ce jeu est bon, très bon même, mais selon les commentateurs de l’époque, ce nouveau style de jeu marquera-t-il son temps ?
Command & Conquer met en scène deux factions prêtes à en découdre sévèrement : les bons de la Global Defense Initiative (GDI), et les vils sbires de la Confrérie du NOD, dirigés par un être ignoble, mais au combien charismatique : Kane. La campagne est entrecoupée de scènes filmées, Westwood disposant de ses propres studios d’enregistrement et celles-ci deviennent en quelque sorte la marque de fabrique du jeu. Chose amusante : plusieurs des personnages présents dans les films sont en fait des employés de Westwood, à savoir des designers, programmeurs, etc. Kane étant joué par Joe Kucan, directeur de la production cinématographique ! Une surprise vient faire mentir les quelques magazines récalcitrants juste après la sortie du jeu : il ne s’agit pas d’une seule histoire, mais d’une série. La saga sera composée de trois épisodes, ni plus, ni moins.

 

Le jeu

Les principes de ce style de jeu sont des plus connus aujourd’hui, mais étaient encore relativement austères à cette époque-là, et ce n’est pas la sortie de WarCraft un an plus tôt qui avait changé la donne. Comparé au succès de cette série aujourd’hui, le premier opus n’a pas vraiment fait parler de lui…
Le champ de bataille est vu de haut, et comme l’indique la classification de « STR », ce jeu se joue en temps réel : pas de répit, il faut toujours être à l’affût du moindre mouvement adverse sur la mini carte vous donnant les positions ennemies. L’un des aspects les plus importants de ce jeu est la récolte des ressources permettant l’achat de nouvelles armes. Les moissonneuses, déjà présentent dans Dune 2 font ici une nouvelle apparition malgré le fait qu’il ne soit plus question d’Epice, mais de Tiberium, substance dangereuse mais ô combien puissante si maîtrisée. Il appartient alors au joueur de les amener dans les gisements de Tiberium/minerais dispersés sur la carte pour les vider ensuite de leur récolte dans une raffinerie, qui se charge de transformer tout ça en espèce sonnante et trébuchante.
Et pourquoi l’argent est ici le nerf de la guerre ? Tout simplement car vous ne pouvez vaincre l’adversaire sans unité de combat, et sachant qu’il est nécessaire d’avoir des bâtiments pour produire ces dites unités, l’équation est vide résolue. On peut alors résumer une partie en 3 phases : Construction de base, production d’unités de combat, et pour terminer, prouver qu’on est le plus fort lors d’une attaque de la base adverse. Mais attention à ce que l’inverse ne se produise pas !

Comme dans tout jeu ou presque, les Command & Conquer nous proposent une campagne solo nous racontant, à travers diverses missions, une histoire dans laquelle nous jouerons soit le bon, soit la brute, le truand n’arrivant qu’avec Yuri dans La Revanche de Yuri.
Une partie très importante de ce style de jeu est le multijoueur, les jeux ont ainsi débuté avec une partie réseau très simpliste : jeu par câble série ou parallèle pour la plupart et deux joueurs maximum… Pour arriver aujourd’hui à ce que vous connaissez, à savoir des ladders, qui sont des tournois perpétuels classant les joueurs par rapport aux points gagnés au combat, et qui regroupent plusieurs dizaines de milliers de participants. Sortir un STR sans partie multijoueur serait maintenant inconcevable, et de toute façon voué à l’échec.
Un point supplémentaire faisant l’originalité des C&C sont les armes ultimes, à raison d’une par faction. Ces armes s’obtiennent contre une somme non négligeable mais vous donnent ensuite un avantage certain. Nous avons ainsi eu droit au canon à ions, au psycho-dominateur, à la tempête de scuds et j’en passe… Mention spéciale pour la bombe atomique qui est présente dans tous les C&C depuis les premiers pas de la saga.

 

Les éternels adversaires

Nous découvrons C&C1, avec de très beaux graphismes... pour l'époque!L’histoire se situe dans ce qu’on peut appeler un « monde alternatif » : qu’aurait-il pu se passer si un élément perturbateur – ici le Tiberium – avait été lâché dans la nature ? Nous sommes dans les années 2020-2030, mais les deux factions en présence ne sont pas nouvelles. A l’origine fondé en 1966, le GDI a fonctionné longtemps comme une unité spéciale de l’ONU envoyée sur le front lorsque toutes les négociations avaient échouées, et n’avait jamais été officiellement reconnu bien que la presse en fasse régulièrement ses choux gras. C’est en 1995 que le GDI devint une organisation à part entière et dont l’existence a été dévoilée, mais c’est alors posé la question de sa légitimité, rapidement soutenue de part son rôle essentiel dans la lutte contre la Confrérie du NOD.

Même la Nintendo 64 a droit à une adaptation de C&C1Le Nod justement, ses origines sont mystérieuses, ses membres fanatiques. Il a longtemps été considéré comme un groupement terroriste très bien organisé, mais peu menaçant vu les moyens dont ses membres disposaient… jusqu’à la découverte des pouvoirs destructeurs du Tiberium dans les années 80. La prise du NOD sur le monde a alors été fulgurante et l’Europe ainsi que le sud-est de l’Asie ont rapidement capitulé devant la puissance de la Confrérie. Le quartier général du Nod se trouve quelque part en Afrique, mais l’organisation s’est déployée partout dans le monde et leur chef Kane est maintenant prêt à placer ce qui sera le point final de sa prophétie : la domination totale du monde et la destruction du GDI, tout ceci grâce à la puissance du Tiberium qui a été depuis maîtrisé, tout en restant assez instable…

Un an après la sortie du jeu original, en 1996, un add-on sort, c’est « Opération survie » en VF. Il propose au joueur quinze nouvelles missions avec toujours les deux même opposants, mais aussi quelques cartes multijoueurs et même deux missions à jouer avec un ami.

 

Un incipit à Command & Conquer ?

La supériorité maritime des Alliés sur les mers est beaucoup trop importante...C’est la surprise à laquelle nous avons eu droit juste après la sortie d’Opération Survie : six mois avant sa sortie pour Noël 1996, Alerte Rouge est annoncé et utilisera une version amélioré du moteur graphique de C&C1. Horreur ! Pas de Nod ni de GDI, plus de Kane (quoi que…), tout cela est remplacé par un conflit dans les années 40 entre les Alliés et les Soviétiques, mais toujours avec l’originalité dont a fait preuve Westwood depuis Dune 2. Ici, point de char d’assaut ni de Grosse Bertha, mais des tanks Mammouth, des Migs, bobines Tesla et j’en passe… Le jeu reçoit d’excellentes notes de la presse vidéo ludique, et sa campagne reste personnellement ma référence en terme de STR : espionnage, reconnaissance, escorte, missions en intérieur et bien sûr… destruction !
Sur la terre, aucune chance de résister au rouleau compresseur Soviétique!Comme on peut le deviner, le but de Westwood avec ce jeu était de nous conter comment sont nés les GDI et NOD qui s’entre-déchirent dans le futur. Nous allons ainsi vivre « en direct » la naissance du GDI après une mission, et nous pourrons découvrir Kane, égal à lui-même (c’est-à-dire ignoble), à la fin de la campagne soviétique. La Confrérie du Nod serait donc le regroupement de Soviétiques fanatiques dans un mouvement encore plus radical et dangereux ? Visiblement oui, et Kane sera leur Dieu.
Autant la campagne du jeu est superbe, autant le jeu en réseau, dont la mode débute tout juste, montre rapidement ses limites : les forces sont totalement déséquilibrées et prendre les Alliés sur une carte sans eau est suicidaire.

 

Avènement et décadence du multijoueur

Les parties à plus de 30 joueurs sur Sole Survivor, inoubliable!Westwood a bien compris que le multijoueur est l’avenir du jeu vidéo, mais ils ne veulent pas faire les choses à moitié, et c’est à un jeu uniquement jouable en ligne que nous auront droit en 1997 : Command & Conquer : Sole Survivor. Enfin, quand je dis « nous », « eux » serait un mot plus correct car ce jeu n’a jamais été distribué hors des USA…
On ne dispose en fait que d’une seule unité à choisir parmi celles du Nod, du GDI… ou un dinosaure… et se mesurer à 49 autres joueurs sur une même carte se révèle être une superbe idée, mais les joueurs étaient-ils prêts ? Internet était-il assez développé dans les foyers pour que le jeu prenne vraiment et qu’une communauté se crée ? La réponse est non, et Sole Survivor n’a eu qu’un succès d’estime car il reste aujourd’hui – et de loin – le Command & Conquer qui s’est le moins vendu.

Encore 23 minutes, et les oranges ont déjà pris un sérieux avantage...Durant cette même année 1997, deux extensions pour Alerte Rouge vont voir le jour : Missions Taïga et Missions M.A.D. Le premier nous offre une campagne de seize nouvelles missions ainsi que de nouvelles unités… qui ne sont pas jouables en réseau ! Il est pourtant très intéressant avec sa centaine de nouvelles cartes multijoueur et ses missions cachées, qui donnaient du fil à retordre contre des fourmis géantes !
Pour le second, Westwood a bien écouté les complaintes des joueurs et les nouvelles unités présentes sont jouables en réseau. Mais comme on ne peut pas tout avoir, il n’est composé que de missions séparées et non pas d’une véritable campagne comme on les aime, et pour terminer, le jeu déjà déséquilibré à l’origine est empiré par les nouvelles unités. Seul un match Soviet contre Soviet serait intéressant… dommage.

 

Enfin du soleil !... Puis la nuit ?

Du béton, beaucoup de béton pour éviter les attaques souterraines dans Soleil de Tiberium.La suite du Conflit du Tibérium devait sortir en 1998 et utiliser le même moteur graphique qu’Alerte Rouge, et alors que le développement en était arrivé à la moitié, tout change : non, ce n’est pas suffisant, il faut un nouveau moteur. Résultat, le jeu arrive dans les étalages en 1999 avec un an de retard, mais cela valait la peine de patienter, car le jeu est joli, on a enfin droit à une prise en compte réelle du relief sur la portée des armes, un terrain déformable et autres joyeusetés. Malgré cela, les joueurs ne peuvent s’empêcher d’être un peu déçus. Pourquoi ? Car ce que nous avions découvert sur les images données par Westwood ne ressemble pas tout à fait à ce quoi on a finalement droit. Des explosions qui se reflètent dans l’eau ? Il faudra attendre ! De belles icônes pour la construction d’unités ou bâtiments ? Idem ! La direction du vent entrant en compte pour les armes chimiques, et une véritable importance des civils dans les parties mutlijoueurs ? « Nous ne voyons pas de quoi vous voulez parler »…
Oui, ce n’est pas ce que nous attendions, mais c’est tout de même vraiment passionnant, et redécouvrir nos très chers GDI et NOD en 2030, ainsi que le puissant Kane que nous croyions mort à la fin du premier épisode nous en fait perdre, du temps, dans des parties endiablées ! Comme d’habitude, nous retrouvons aussi les cinématiques avec de vrais morceaux d’acteurs à l’intérieur et des effets spéciaux plutôt bien réalisés pour un jeu vidéo.

Attaque au canon à ions sur la base NOD... qui ne tardera pas à contre-attaquer.Un nouvel épisode arrive que déjà des interrogations surviennent : Le prochain C&C, c’est donc le dernier ? Comment se nommera-t-il ? Et surtout, quand arrivera-t-il ? Le nom du premier épisode dans sa version française est assez déroutant car il s’agit du « Conflit du Tiberium », mais si on traduit littéralement le titre US, on a droit à « Aube de Tiberium »… L’épisode dont nous venons de parler se nomme Soleil de Tiberium, mais qu’y aura-t-il ensuite ? La réponse est rapidement trouvée : il s’agira de « Crépuscule de Tiberium », et le dépôt d’un nom de domaine par Westwood un an plus tôt (tiberiantwilight.com) effacera tout soupçon. Il ne nous reste plus que la date à découvrir… Enfin, un add-on comportant une nouvelle campagne et de nouvelles unités sort en 2000 et se nommera Mission Hydre. Il s’agit pour beaucoup d’un des meilleurs add-on pour C&C.

 

L’alerte est toujours rouge

Les chars Prismes d'Alerte Rouge 2: peu résistants, mais au combien efficaces.Tout comme ils nous avaient fait la surprise pour le premier numéro, Westwood récidive pour Alerte Rouge 2 ! Le jeu est annoncé lors de l’E3 2000, pour une sortie fin de la même année. Le jeu utilise une version améliorée du moteur graphique de Soleil de Tiberium, ainsi que des couleurs plus cartoon, tandis que l’humour noir et la caricature, déjà présents dans le premier opus sont portés ici à leur paroxysme.
Le jeu est rapide, nerveux et ne tarde pas à se faire une place au soleil comme les précédents C&C, et comme d’habitude, un add-on arrive un an plus tard. Celui-ci se nomme « La Revanche de Yuri » et on y découvre une nouvelle faction, celle de Yuri, alors allié de Romanov (chef des Soviétiques) dans le jeu original. Malheureusement, le jeu est déséquilibré et n’est pas suivi par Westwood… Les tricheurs ne tardent pas à arriver en masse et pourrissent complètement le jeu en ligne.

Graphisme et gameplay dépassés, mais fun au top pour Renegade!Ensuite, alors que tous les joueurs attendaient la suite d’Alerte Rouge ou de Soleil de Tiberium, voici arriver Renegade, un FPS C&C en 2002! L’univers est bien choisi : il s’agira de C&C1, mais vu du sol. Vous êtes Havoc, ancien du Dead-6, unité spéciale du GDI agissant dans l’ombre. Las… le jeu est dépassé graphiquement, le gameplay aussi, les notes sont moyennes, son public sera donc réduit, mais passionné. Son point fort au moment de sa sortie ? La possibilité d’acheter des véhicules et de les conduire. Un patch sera même réalisé à la demande des joueurs, ajoutant des unités aériennes.

 

Nouvelle année, nouvelle « série »

Au mois de février 2003, voici qu’arrive Generals, toute nouvelle série avec de nombreux changements au niveau gameplay, un moteur 3D d’enfer et trois camps très différents.

Generals contre C&C1, l'explosion atomique n'a plus grand chose à voir...Mais la vie n’est malheureusement pas toujours un long fleuve tranquille… Jusqu’alors, un Command & Conquer était un jeu Westwood, les deux en devenant presque un pléonasme. Mais au début de cette année 2003, un premier coup fut asséné aux fans en apprenant que Generals allait sortir sous la marque EA. Les événements allèrent alors très vite, et c’est le 30 janvier que fut annoncée la fermeture du studio de Las Vegas pour une délocalisation complète à Los Angeles. Comme à l’accoutumer dans ces cas-là, une partie des employés ne suivit pas l’entreprise et fut licenciée. Bonne nouvelle toutefois, une nouvelle société du nom de Petroglyph fut montée début mai avec trois des anciens membres de Westwood, rapidement suivis d’un quatrième: l’aventure continue, mais une page de l’histoire de la stratégie temps réel est tournée, c’est certain.

Quelques mois plus tard (juillet 2003), C’est au tour de Heure H d’être annoncé. Add-on pour Generals, il se révèlera très vite indispensable pour tout possesseur du jeu original. De nouvelles unités, une campagne un peu mieux scénarisée et des missions plus prenantes rendent cette extension vraiment intéressante… pendant un court laps de temps. EA n’ayant pas véritablement suivi le jeu au niveau des patchs, la mésaventure amorcée par La Revanche de Yuri recommence et les tricheurs envahissent complètement le jeu en ligne. Deux patchs arriveront, puis plus rien. Mais surprise ! Un an et deux mois plus tard, un miraculeux patch 1.03 fait son apparition, suivi quelques jours plus tard d’un 1.04 corrigeant certains problèmes relevés par les joueurs. Il s’agira des derniers patchs pour Heure H, mais quels patchs. Le prochain jeu sortant des studios de EALA sera La Bataille pour la Terre du Milieu, jeu développé grâce à l’acquisition par EA des droits sur le film de Peter Jackson. Soit, nous attendrons l’année prochaine.

 

Alerte Rouge tro… à non…

Décembre 2004, une nouvelle fait trembler tous les fans de Command & Conquer. Mark Skaggs « pré-annonce » le développement d’Alerte Rouge 3 dans un mail adressé à quelques sites C&C.

Mais retournement de situation quelques semaines après avec l’annonce du départ de Mark Skaggs, annoncée comme temporaire mais qui se révèlera au final définitive. Plusieurs mois passent sans aucune information de qui que se soit, mais tout le monde attend de pied ferme Alerte Rouge 3. Fin juillet 2005, surprise, La Bataille pour la Terre du Milieu 2 est annoncé! Une bonne partie de la communauté fait part de sa déception, mais le jeu s’annonçant alors très bon, les esprits se calment. Seb de EA France nous dira dans une interview que le développement d’Alerte Rouge 3 n’est pas abandonné, mais remis à plus tard : « cela ne peut être qu'au bénéfice du temps de développement et donc de la qualité du jeu. Je suis sûr que les fans comprendront ça. »

 

Finalement, aujourd’hui, où en sommes-nous ? Le dernier Command & Conquer sorti date maintenant de 2003 et même si les fans sont encore très nombreux le jeu n’en est pas moins dépassé à de nombreux niveaux par les concurrents.
La Bataille pour la Terre du Milieu 2 pourra très certainement combler les fans de fait de son jeu orienté « gamers » et son gameplay beaucoup plus proche des C&C que le premier opus, mais encore faut-il que les fans de la première heure de C&C parviennent à sauter le pas et à se dire qu’un tank ne fait pas tout, et qu’avec un Nain on peut soulever le monde ou presque… ;)
Quoiqu’il en soit, EA l’a répété plusieurs fois durant le Community Summit de août 2005 : Command & Conquer est une licence très très importante pour Electronic Arts… Certains apprendront sans doute la patience avec cela, mais C&C, tel Kane, vit dans la mort et n’est pas prêt de s’éteindre!

 

Dossier réalisé par Furax pour PC4War et Time Of War

 
 
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